Temps de lecture : 6 minutes
Eh oui, les Esthètes & Mécènes ont droit à un mail dès le premier jour de 2024 ! Je vous souhaite une année épanouissante et pleine de petits bonheurs et de grands 🥰
Dans l’épisode précédent, j’évoquais les derniers détails : la maquette, la couverture et sa quatrième, les dernières corrections.
Maintenant, je vais vous parler de la phase sans fin, celle qui commence à la sortie (voire avant) et ne s’arrête plus jamais : celle de la communication.
Parce que c’est bien beau d’écrire un livre : si personne ne le lit, c’est un peu dommage.
Les services presse
Pour cela, je vous propose un petit voyage dans le temps : retour en 2013.
J’avais 20 ans, j’étais en M1 de Médiation Culturelle à Paris 3 Sorbonne-Nouvelle et je venais de décrocher mon premier stage. Ma première expérience en bureau.
Il s’agissait d’une agence de presse.
Je ne savais pas exactement à quoi ça correspondait au moment de candidater, mais je savais que ça avait un rapport avec le monde de l’édition. Ça rentrait dans le domaine de la médiation culturelle au sens large.
Au moment de l’entretien, on m’explique qu’en tant qu’assistante agente de presse je vais m’occuper principalement de relances, de veille et de mise sous pli. N’ayant pas la moindre idée de ce que signifient ces trois termes, je ne m’inquiète pas.
J’aurais dû. (Mais ça, j’en ai déjà parlé dans un autre article.)
Laissez-moi vous expliquer le rôle d’une agence de presse et des agentəs de presse – un métier d’ailleurs plutôt féminin, de ce que j’ai observé.
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